Posts Tagged ‘John Heartfield’

août 27, 2012

oak-land:

The First International Dada Fair, Berlin, 1920. L-R: Hannah Höch, Otto Schmalhausen, Raoul Hausmann, John Heartfield (holding his son Tom), Dr. Otto Burchard, Margarete Herzfelde, George Grosz (pictured on wall), Wieland Herzfelde, Rudolf Schlichter, Mies van der Rohe, unknown, Johannes Baader.

novembre 23, 2011

praise-of-folly:

chagalov:

John Heartfield, Self-Portrait with the Police Commissioner Zörgiebel, 1929
[some ref.: Art in Berlin]

silvianavarro:

John Heartfield: Autorretrato con el comisionado de Policía Zörgiebel, 1929

février 4, 2011

John Heartfield, Adolf the Superman, 1932.

billyjane:

i12bent:John Heartfield (June 19, 1891 – 1968): Adolf the Superman: Swallows Gold and Spouts Junk

As a contributer to the DaDa movement, John Heartfield (Helmut Herzfeld) communicated his artistic vision through photomontage among the Berlin dada scene…

John Heartfield used his art to protest the violent, greedy governmental control of the Nazi party and Hitler’s Third Reich. He took a satirical approach, condemning the anti-semite and the wealthy industrialist who supported the German army. He witnessed a country of hungry, desolate people in the midst of chaos during the second World War, and through his art, protested their suffering.

photomontage

février 4, 2011

Chez John Heartfield, l’effondrement de l’aura est solidaire d’une prise de conscience politique : dépasser la puissance de négation propre à Dada et la convertir en dynamique de lutte. Avec John Heartfield apparaît ainsi dans les années vingt un nouveau type de producteur d’art, salué par Louis Aragon : l’artiste militant, l’artiste qui intervient et dont l’œuvre est tout entière portée par sa fonction, sa finalité sociale contre l’aura de l’œuvre unique, le photomontage de John Heartfield assume en ce sens totalement d’être le moyen d’une communication de masse. Une esthétique du choc va s’y déployer, soutenue par une rhétorique de la persuasion.

Dominique Baqué, La photographie plasticienne, Regard, Paris, 1998, p. 230.

décembre 28, 2010

John Heartfield, “Der Reichsbischof richtet das Christentum aus.” “He, der Mann da, das Kruzifix etwas weiter nach rechts!”, AIZ N°3, 18 Jan 1934, via imagebank.vulture-bookz.de

décembre 28, 2010

John Heartfield, “O du fröhliche, O du selige, gnadenbringende Zeit” (O Joyful, O blessed, miracle-bringing time), 1935, Arbeiter-Illustriete Zeitung (AIZ, or “Worker’s Illustrated Paper”), via www.geh.org

décembre 20, 2010

John Heartfield, The cross was not heavy enough, 1934, via www.robertlpeters.com

action politique

décembre 20, 2010

Rapidement, son œuvre prendra un tour beaucoup plus politique, comme le montre son photomontage Nach zehn Jahren : Vôater und Sôhne (Après 10 ans : pères et fils) réalisé en 1924, à l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la guerre. Trois photographies différentes on été utilisées — cortège de squelettes, maréchal et défilé d’enfants habillés en soldats — qui sont découpées et collées ensemble. Une légende très courte est ajoutée à l’image. Le tout est rephotographié et agrandi. Heartfield crée ici en nouveau langage associant image et texte. Dès cette époque, il va consacrer son art à l’action politique en détournant le sens des images qu’il utilise et en reproduisant ses œuvres sous forme d’affiches ou comme illustrations pour des magazines, afin de leur assurer un grand diffusion.

Serge Lemoine, Dada, Hazan, 1991, p. 49-52.

décembre 20, 2010

John Heartfield, Nach zehn Jahren : Vôater und Sôhne (Après 10 ans : pères et fils), 1924, Berlin, Archives Heartfield.

frenchtwist:

Fathers and Sons by John Heartfield, 1924